Le week-end qui arrive sera savoureux... à La Maison Nugues rue de l'Armillerie à Romans

Publié le par Irène

Nous vous proposons un week end haut en couleurs et riche en émotions !

Du spectacle encore et encore avec 3 propositions différentes :
 
vendredi 6 mai C'est le duo Volutes qui fera raisonner les murs de pierre du 18 rue de l'Armillerie avec des reprises d'Alain Bashung.
samedi 7 mai ce sont les sketchs inoxydables de Jean-Pierre Yvars qui seront à l'honneur avec son spectacle intitulé Qu'importe le balcon pourvu qu'on ait l'Yvars
et  dimanche 8 mai, pour clôturer ce beau week end, ne manquez pas le cabaret intime et biscornu de Thérèse Bosc, La Réussite.
 
 
Vous avez l'eau à la bouche...
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Les bénévoles de l'Art'millerie
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Là non plus il ne s'agit pas de triche, de façade, de vernis!

Les deux compères du duo VOLUTES sont des habitués de la scène et leur prestation bien que le répertoire de Bashung ait intégré nos cortex depuis longtemps, semblera neuve, nouvelle, comme une découverte!
 
Les deux gars donnent le maxi, le maxi de leur énergie, le maxi de leurs talents. Et toutes les oreilles présentes le percevront.
La générosité est une bonne base mais elle ne suffit pas à capter et à enflammer de la sorte tout un auditoire. Thierry Dupuis au-delà de son humilité presque irritante à un talent de chanteur dingue qui s’adapte toujours avec la distance nécessaire aux textes sur lesquels ils s'appuient, comme pour en ressentir l’essence originelle et nous l’offrir. En veux-tu en voilà!
Samuel Cigna, avec la même humilité que son acolyte nourrit et rythme les morceaux du père Alain avec un talent d’expert, c’est à dire jamais démonstratif, mais ressenti, habile sans aucun étalage de sa virtuosité.
Ça donne des versions uniques, rock(s), musicales, hyper chouettes!
Comme des fantaisies militaires!

 

L'Humour le vrai, et qui pourrait le nier, d'une telle
  élévation de pensée mais encore d'une si scabreuse, et si audacieuse
  bien que forte édifiante  ambiguïté, qu'il ne me sera guère possible, moi Jean-Pierre
  Yvars, de ne pas faire tourner à mon tour, l'ambivalente girouette de la Fatalité, 
   dans les vents, les nuées, les marrées, et les ouragans secrets de la Futilité.
  J'espère ce soir là, que vous ne me tiendrez pas rigueur, de vous faire entendre
  des textes, par trop accablants, désespérants, de jeux de mots, ceux de
  Raymond DEVOS, et bien d'autres...en effet j'estime que de nos jours les jeux
  de mots laids, sont bien plus salutaires, bien plus divertissants que certaines
  conférences rances...

LA RÉUSSITE

Cabaret intime et biscornu

sax sopranino, cordes, synthé, objets amplifiés, samples et confidences

Pour moi, le voyage se fait dès qu'on met les pieds en dehors de soi, et qu'on considère les soubresauts de la vie comme des destinations.Trouver extraordinaire ce qui ne semble pas l'être, tordre des lieux communs comme on tordrait une paire de chaussettes, dévoiler une émotion enfouie, l'étendre au grand jour.

 Dans la continuité de Rôdeuse carnet de voyage sonore, La Réussite invite à naviguer par les oreilles dans mes carnets de route à travers des sujets sensibles, insolites, risibles, du couac au je ne sais quoi.

"Thérèse, c'est comme si tous les êtres humains décidaient un jour de raconter un peu de leur vie, un peu de leur regard sur le monde, quelqu'unes des petites histoires de la belle humanité qui font une vie ! Et on en oublierai presque que c'est une immense comédienne, que c'est une musicienne virtuose. Elle nous donne tout comme ça, sans filtre et dans une grande humilité." Périne Faivre

regard complice: Jean Luc Guitton

 

Publié dans Culturel et artistique

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